Titre: ChatGPT s’ouvre à Internet grâce aux plug-ins

Le chatbot basé sur l’intelligence artificielle d’OpenAI, ChatGPT, a franchi une nouvelle étape en intégrant des plug-ins qui lui permettent d’accéder à Internet pour apporter des réponses plus complètes. Certains des plug-ins ont été développés en interne par OpenAI, tandis que d’autres ont été créés par des partenaires offrant des services tiers. Le chatbot dispose désormais d’un accès à un nombre considérable de contenus en ligne pour répondre aux questions des utilisateurs.

Titre: L’ajout de plug-ins décuple les capacités de ChatGPT

Avec l’intégration de ces plug-ins, ChatGPT peut désormais accéder aux dernières informations disponibles en ligne, augmentant considérablement la quantité de contenus qu’il peut utiliser pour répondre aux questions des utilisateurs. L’un des plug-ins développés en interne par OpenAI est un modèle expérimental capable de naviguer sur Internet, tandis que l’autre plug-in, également en phase alpha, permet l’interprétation du code Python. Le chatbot dispose ainsi d’un environnement d’exécution de type bac à sable pour résoudre des problèmes mathématiques, effectuer des analyses et visualisations de données, et convertir des fichiers en différents formats.

Titre: ChatGPT offre une infinité de possibilités grâce aux plug-ins tiers

Outre les plug-ins d’OpenAI, des partenaires tiers tels que Zapier, Expedia, KAYAK et OpenTable ont également proposé leur plug-in pour ChatGPT. Les utilisateurs peuvent ainsi utiliser le chatbot pour programmer des dîners et des repas de la semaine en installant des plug-ins tels que Wolfram, qui calcule le nombre de calories, OpenTable, pour réserver une table à un restaurant, et Instacart pour préparer une liste de courses. L’ajout de plug-ins tiers offre donc une gamme infinie de possibilités pour les utilisateurs.

OpenAI invite les développeurs à soumettre leurs applications sur une liste d’attente pour soumettre leurs propres plug-ins. Les utilisateurs de ChatGPT Plus auront un accès prioritaire à ces plug-ins. OpenAI prévoit un déploiement progressif des plug-ins à plus grande échelle, en fonction du nombre de développeurs et de la demande des utilisateurs.

En conclusion, l’ajout de plug-ins a considérablement amélioré les capacités de ChatGPT en lui permettant d’accéder à Internet pour répondre aux questions des utilisateurs. Les possibilités semblent infinies, avec des plug-ins tiers offrant des options telles que la réservation de voyages et de restaurants. Les développeurs peuvent également créer leurs propres plug-ins pour ChatGPT.

Source : www.01net.com

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OpenAI continue de développer son assistant conversationnel, ChatGPT, en lançant des plug-ins pour plusieurs applications. Disponibles en version alpha, ils seront accessibles en priorité à un petit nombre de développeurs et d’abonnés au plan premium ChatGPT Plus, avant de les déployer à grande échelle via son API.

Le plug-in le plus symbolique est celui lié à la navigation web. ChatGPT est donc capable de puiser des données sur le web pour répondre aux différentes questions qui lui sont posées. Le plug-in récupère du contenu sur le web à l’aide de l’API de recherche Bing et affiche tous les sites web qu’il a visités pour élaborer une réponse, en citant ses sources dans les réponses de ChatGPT. OpenAI admet que ChatGPT activé sur le web pourrait avoir toutes sortes de comportements comme l’envoi de courriels frauduleux et de spams et de manière générale « l’augmentation des capacités des mauvais acteurs qui frauderaient, tromperaient ou abuseraient d’autres personnes ». La société répond qu’elle a mis en œuvre plusieurs mesures de protection.

En dehors du plug-in sur la navigation, OpenAI a publié un interpréteur de code pour ChatGPT pour Python par exemple dans un environnement sécurisé, avec de l’espace de stockage. Il permet de charger des fichiers dans ChatGPT et de télécharger les résultats ; OpenAI indique qu’il est particulièrement utile pour résoudre des problèmes mathématiques, analyser et visualiser des données et convertir des fichiers d’un format à l’autre.

La start-up a enrichit aussi son catalogue d’intégration de ChatGPT avec des applications comme Expedia, FiscalNote, Instacart, Kayak, Klarna, Milo, OpenTable, Shopify, Slack, Speak, Wolfram et Zapier. Ainsi, le plugin OpenTable propose au chatbot de rechercher des réservations de restaurant, tandis que celui d’Instacart peut passer des commandes auprès des magasins locaux. Sur la partie entreprise, le module pour Zapier se connecter à des services comme Google Sheets, Trello et Gmail pour déclencher toute une série de tâches de productivité.

Source : www.lemondeinformatique.fr

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Des chercheurs d’OpenAI et de l’Université de Pennsylvanie ont réalisé une étude pour déterminer les conséquences de l’IA générative ChatGPT sur la main d’oeuvre. Les chercheurs ont utilisé les données du ministère américain du travail pour établir une liste des métiers les plus affectés par l’IA. Selon l’étude, les métiers les plus affectés sont ceux qui requièrent des compétences en programmation et en rédaction et sont mieux rémunérés. Les travailleurs titulaires d’une licence ou d’une maîtrise courent également un risque élevé d’être remplacés par l’IA. À l’inverse, les travailleurs moins bien rémunérés et impliquant des tâches physiques sont les moins exposés. Les chercheurs reconnaissent que l’étude n’est pas parfaite et que de nombreux facteurs sociaux, économiques et réglementaires pourraient influencer les résultats en matière d’emploi. Ils estiment cependant que les modèles d’IA générative pourraient rendre le travail humain plus efficace et poser des défis aux décideurs politiques pour prédire et réglementer leur trajectoire.

Source : tomsguide.fr

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Les fraudes liées à ChatGPT sont en hausse, voici comment se protéger

L’extension “Quick access to ChatGPT” a été conçue pour usurper l’identité du chatbot OpenAI, recueillant ainsi les données de compte Facebook de ses utilisateurs pour promouvoir à nouveau le logiciel malveillant et étendre son réseau. Cette extension a été retirée du Chrome Web Store après avoir été installée 2 000 fois par jour entre le 3 mars 2023 et le 9 mars 2023. Cependant, une variante “ChatGPT for Google” usurpant le nom d’une extension populaire a également été repérée par Guardio Labs, ciblant également les comptes Facebook. Elle a été retirée du catalogue d’application après avoir été installée par plus de 9000 utilisateurs. D’autres extensions malveillantes du même genre sont susceptibles d’apparaître. Les utilisateurs doivent rester prudents et sensible à la notoriété croissante de ChatGPT.

Pour se protéger, plusieurs solutions sont proposées. Tout d’abord, il est suggéré de tester les produits des éditeurs de solutions reconnus. Ces derniers offrent souvent des démonstrations ou des périodes d’essai pour tester leurs produits. Ensuite, il est recommandé de tester les produits d’IA directement sur les sites internet et interfaces des fournisseurs. Bien que cela puisse engendrer des listes d’attente et des services souvent en sur-capacité, des documentations et des forums communautaires permettent de gagner du temps et de monter en compétence sur l’utilisation des outils d’IA. Enfin, OpenAI propose de la documentation sur la construction et l’utilisation de plugin avec ChatGPT. Les utilisateurs peuvent ainsi se renseigner sur la gestion des plugins.

En somme, pour éviter les fraudes liées à ChatGPT, les utilisateurs doivent rester prudents et utiliser les produits des éditeurs reconnus, tester les produits d’IA sur les sites internet et interfaces des fournisseurs, ainsi que se renseigner sur la gestion des plugins à ChatGPT auprès d’OpenAI.

Source : www.zdnet.fr

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Au cours des derniers mois, l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) a énormément progressé, en particulier depuis le lancement du célèbre ChatGPT. Cependant, l’utilisation de cette technologie a conduit à la crainte chez beaucoup de personnes que leur travail devienne à présent automatisable. Mais l’IA aura toujours besoin de l’intervention humaine pour fonctionner. Les capacités de l’IA sont souvent surestimées, selon Bernard Marr, futurologue et auteur de best-sellers internationaux.

Les compétences que vous pouvez vous permettre de ne plus apprendre

1. L’écriture : L’IA peut être utilisée pour produire des rapports simples, des articles de presse et d’autres contenus. Ses capacités linguistiques ont considérablement progressé et elle est capable de prendre en charge de nombreuses tâches de rédaction, de synthèse et peut même proposer des suggestions et des idées. Certains rédacteurs utilisent déjà des robots conversationnels tels que ChatGPT pour rédiger des contenus comme des descriptions de postes pour les équipes de ressources humaines.

2. La conception artistique : Les outils de l’IA peuvent réduire le travail de conception en automatisant des tâches telles que la création d’images, la mise en page ou l’optimisation des couleurs. Bien que certains affirment que l’utilisation de l’IA dans le domaine artistique amoindrira la valeur d’une œuvre, des pionniers s’en servent déjà pour développer leur style.

3. La saisie de données : L’automatisation de la saisie et du traitement des données deviendra probablement une réalité d’ici cinq à dix ans. Les algorithmes d’apprentissage automatique comme la technologie de reconnaissance optique des caractères (OCR) permettent de reconnaître et de convertir un texte imprimé ou écrit en données numériques, réduisant ainsi les erreurs et économisant du temps.

4. L’analyse de données : L’IA peut analyser rapidement une grande quantité de données et identifier des modèles et des schémas que les humains ne peuvent pas toujours voir ni comprendre. Ceci est très utile dans la prise de décisions.

5. Le montage vidéo : L’IA peut aider les personnes sans expérience en montage vidéo en sélectionnant et en assemblant automatiquement les meilleurs plans, en ajoutant des transitions et en ajustant les niveaux sonores. Elle peut également contribuer à la retouche d’images et à la correction des couleurs.

L’avenir du travail à l’ère de l’IA

L’IA pourrait être une solution pour nous dispenser des tâches basiques et ennuyeuses, et nous permettre de développer notre créativité. De plus, la relation entre l’IA et les humains devrait être plutôt collaborative, comme celle des pilotes et des avions automatisés. Les pilotes humains peuvent proposer des solutions innovantes et créatives grâce à leur capacité à résoudre des problèmes. Dans un monde où nous travaillerons tous avec l’IA, les compétences non techniques telle la créativité, l’esprit critique, deviendront les plus précieuses et les plus demandées sur le marché.

Source : fr.euronews.com

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Google lance timidement son agent conversationnel dopé à l’intelligence artificielle, Bard, qui est présenté comme une « expérience complémentaire » à la recherche Google. Toutefois, les inquiétudes quant à la sécurité de ChatGPT, que Microsoft intègre dans le nouveau moteur de recherche Bing, ont incité Google à sortir Bard plus rapidement. Cependant, Bard présente des erreurs factuelles, ce qui a refroidi l’ardeur du géant américain. Dans un article de blog très prudent, Google propose une liste d’attente pour l’IA qui ne sera disponible que dans certains pays. Bien que Google ait pris une avance considérable en matière de recherche, la concurrence, comme Microsoft et Adobe, ont pleinement adopté l’IA, ce qui a mis en évidence le retard de Google dans ce domaine.

Google prend du retard dans le domaine de l’IA
Depuis le lancement en novembre dernier de ChatGPT, Microsoft a multiplié les annonces autour de l’intelligence artificielle qu’il a intégré dans son nouveau moteur de recherche, Bing, et dans ses logiciels comme Word, Excel, Outlook et PowerPoint. De même, Adobe a lancé Firefly, une IA générative qui transformera Photoshop. En revanche, pendant ce temps Google continue les annonces et les présentations, sans avoir grand-chose à donner aux utilisateurs, un retard certain sur leurs concurrents. Bard vient donc renforcer la position de Google dans ce secteur.

Les faiblesses de Bard
Bien que Bard soit une expérience améliorée de la technologie de langage LaMDA, il ne peut garantir l’absence d’erreurs. C’est pour cette raison que Google met en avant une construction responsable de son modèle Bard. Ainsi, l’entreprise a intégré des garde-fous et se baser sur les commentaires et l’évaluation humaine. En outre, Google veut se démarquer de la concurrence en mettant l’éthique en avant.

Bard, une « expérience complémentaire » à la recherche Google

Google ne présente pas Bard comme un produit de recherche futur, mais plutôt comme une interface directe avec un LLM, une IA qui aide les utilisateurs à trouver des informations qu’ils cherchent. Google veut offrir une expérience complémentaire à la recherche Google en fournissant des réponses les plus adaptées possible pour les utilisateurs.

Comment se préinscrire et accéder à Bard
Google se montre très prudent quant à l’accès à Bard. La société propose aux intéressés de rejoindre une liste d’attente sur une page dédiée. Toutefois, Google ne garantit pas une prise en charge de Bard dans tous les pays. Les utilisateurs des États-Unis et du Royaume-Uni ont plus de chance d’y accéder. Les autres seront invités à rester à l’écoute.

Conclusion
Bien que Google ait pris un retard considérable dans le domaine de l’IA, Bard peut être considéré comme un pas en avant pour l’entreprise. Toutefois, ce chatbot dopé à l’intelligence artificielle présente encore des faiblesses, ce qui incite Google à se montrer prudent quant à sa mise à disposition. En fin de compte, Bard est présenté comme une expérience complémentaire à la recherche Google afin de fournir des réponses plus adaptées aux utilisateurs.

Source : www.01net.com

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Microsoft continue d’intégrer à la hussarde GPT-4 dans ses différentes solutions. GitHub emboîte ainsi le pas avec le lancement de Copilot X qui greffe le chatbot d’OpenAI à l’outil de complétion de code. Cette plateforme va ajouter des fonctions de chat pour les développeurs. Copilot Chat sera disponible dans Visual Studio et VS Code, avec une prise en charge ultérieure d’autres IDE. Pour Thomas Dohmke, CEO de GitHub, « Copilot Chat n’est pas une simple fenêtre de chat ». Il précise que « vous pouvez surligner du code dans l’éditeur, par exemple, puis interroger Copilot sur ces extraits de code, l’utiliser pour remanier ce code et lui demander de vous aider à le déboguer, si nécessaire ».

GitHub, pionnier de l’usage de l’IA avec Codex d’OpenAI, présente une évolution de son outil de complétion de code baptisée Copilot X. Cette fonctionnalité est la première étape que nous entreprenons pour repenser le fonctionnement des pull request sur GitHub. Basé sur GPT-4, cette fonction sera capable de « suggérer automatiquement des phrases et des paragraphes au fur et à mesure que les développeurs créeront des pull request ». Par ailleurs, l’équipe de GitHub teste la capacité d’avertir automatiquement les développeurs pour le manque de test de leur code tout en leur en suggérant.

Copilot for Docs s’attelle à la question de la documentation sur le code utilisé. A travers le chatbot, les utilisateurs pourront poser des questions sur ces langages, les frameworks et les technologies afférentes. Enfin, GitHub lève le voile aussi sur Copilot sur CLI (interface de ligne de commande). A l’instar de Warp avec son terminal, GitHub aide désormais les développeurs à utiliser les ligne de commande en les aidant à composer des commandes et des boucles.

Source : www.lemondeinformatique.fr

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Opera, l’éditeur de navigateurs Web, vient d’annoncer l’intégration de plusieurs fonctionnalités liées à l’IA générative dans ses navigateurs Opera et Opera GX. Cette décision s’inscrit dans le cadre du programme Browser AI lancé pour intégrer, à terme, un moteur IA maison dans ses navigateurs. Les nouveaux outils incluent l’intégration de ChatGPT et ChatSonic (un concurrent basé sur GPT-4) dans la barre latérale du navigateur. Ces chatbots populaires pourront être utilisés dans une fenêtre indépendante du reste de votre navigation. Le navigateur inclura également un module AI Prompts qui suggérera des débuts de promesses pour aider les utilisateurs à rédiger des publications sur les réseaux sociaux. En outre, l’outil permettra également aux utilisateurs d’expliquer les textes surlignés qu’ils ne comprennent pas en des termes clairs.

En fonction du service que vous utilisez, ChatGPT ou ChatSonic, la réponse à votre question s’affichera automatiquement dans le volet dédié du chatbot interrogé. Avec ces nouveaux outils, Opera espère que les utilisateurs pourront « engager des conversations avec des services d’IA génératives pour raccourcir ou expliquer des articles, générer des tweets ou demander un contenu pertinent en fonction du texte mis en évidence ».

Ces options ne sont cependant disponibles qu’en accès anticipé dans Opera et Opera GX. Les utilisateurs devront d’abord mettre à jour leur navigateur, accéder aux paramètres avancés pour activer l’accès anticipé du module AI prompts, sélectionner les chatbots à intégrer dans la barre latérale et choisir s’ils souhaitent intégrer l’assistant AI prompts dans la barre d’adresses ou lorsqu’ils surlignent du texte à l’aide de la souris. Ces fonctionnalités devraient être utiles aux utilisateurs pour conserver leur chatbot préféré ou leur promesse de génération de contenu ouvert pendant qu’ils consultent d’autres pages ouvertes dans leurs onglets.

Cette innovation d’Opera montre l’importance de l’IA générative dans le monde de la technologie et de l’innovation. Les géants du numérique doivent prendre en compte cette tendance pour ne pas se laisser distancer par la concurrence. Opera sait qu’il est crucial de faire partie des premiers éditeurs de navigateurs à intégrer des fonctionnalités d’IA générative et cherche à rendre l’expérience utilisateur plus aisée et plus fluide.

Source : www.01net.com

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Les emplois les mieux payés les plus menacés par l’IA générative, selon une étude

L’ascension fulgurante de l’IA générative

OpenAI a révélé les emplois qui risquent le plus d’être affectés par l’émergence des modèles de langage type GPT. Si pour l’heure, son impact reste minime, sa progression est fulgurante et ses capacités impressionnantes. En simulant l’examen du barreau américain, GPT-4 s’est classé parmi les 10 % des meilleurs résultats, ce qui signifie qu’il a le niveau pour devenir avocat.

Les emplois les plus menacés par l’émergence de ChatGPT

Environ 80 % de la main-d’œuvre américaine pourrait voir au moins 10 % de ses tâches touchées, tandis que 19 % des travailleurs risquent que 50 % de leurs tâches soit affectées par l’introduction d’outils tels que ChatGPT. Les métiers à hauts revenus sont les plus à risque, notamment des secteurs tels que la finance, l’éducation, le journalisme, l’ingénierie et le graphisme. Voici une liste des métiers que l’intelligence artificielle risque de perturber, selon l’étude :

– Analyste de l’information
– Analyste quantitatif en finance
– Comptable
– Concepteur d’interfaces web et numériques
– Correcteur
– Écrivain et auteur
– Journaliste
– Mathématicien
– Préparateur d’impôts
– Sténographe en direct (sous-titrage simultané)
– Sténographe judiciaire

Les limites de l’étude

Les auteurs de l’étude expliquent néanmoins que ces données sont à prendre avec des pincettes, car il est difficile de savoir dans quelle mesure les professions peuvent être entièrement décomposées en tâches, et si cette approche omet systématiquement certaines catégories de compétences ou de tâches qui sont tacitement requises pour l’exécution compétente d’un travail. En outre, les modèles de langage sont loin d’être infaillibles et sont sujets à la désinformation, nécessitant souvent une intervention humaine.

Les perspectives pour l’avenir

Selon le PDG d’OpenAI, Sam Altman, l’intelligence artificielle allait « supprimer un grand nombre d’emplois actuels ». Toutefois, il estime également que l’IA permettra de créer de nouveaux emplois, bien meilleurs que les précédents. Le développement de l’IA, en termes d’impact sur nos vies et d’amélioration de nos vies, sera la plus grande technologie que l’humanité ait jamais développée.

Source : siecledigital.fr

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Lancement de Bard : le nouveau robot conversationnel de Google pour améliorer la qualité des réponses

Google vient de lancer Bard, son robot conversationnel, pour améliorer la qualité des réponses de son moteur de recherche en augmentant les interactions avec les utilisateurs. Bard vise à combler le retard pris par Google face à ChatGPT.

Lancement de Bard pour améliorer les réponses de Google

Google a officiellement lancé Bard, son robot conversationnel, dans le but d’améliorer les réponses de Google grâce à l’augmentation des interactions avec les utilisateurs. Son objectif est de combler les retards pris par rapport à ChatGPT, qui a été développé par la start-up OpenAI en collaboration avec Microsoft. Google avait annoncé la création de Bard en catastrophe au début du mois de février. L’utilisation de ce nouveau robot conversationnel avait tout d’abord été limitée à des testeurs de confiance puis, mardi 21 mars, ouverte au grand public. Le nombre de connexions a cependant été restreint, et une liste d’attente a été établie pour gérer la demande. Pour l’instant, l’accès n’est possible que depuis les États-Unis et le Royaume-Uni.

Des garde-fous pour contenir les inexactitudes de Bard

Google a mis en place des garde-fous pour contenir les possibilités de réponses inexactes ou inadaptées. Les deux dirigeants de Google, Sissie Hsiao et Eli Collins, ont publié un message où ils reconnaissent que les Grands Modèles de Langage (LLM, programme capable de générer des réponses à des questions formulées en langage courant) ne sont pas sans défaut, et peuvent proposer de manière erronée des informations inexactes, trompeuses ou fausses. Limitant la possibilité d’interventions trop longues de Bard dans un dialogue avec un utilisateur, ces garde-fous sont autant de mesures pour contenir d’éventuelles inexactitudes des réponses de Bard.

L’interface de Bard distincte et facile à utiliser

L’interface de Bard est un site Internet distinct de Google, avec un espace dans lequel l’utilisateur peut poser une question par écrit. Les deux dirigeants de Google affirment que l’utilisation de cet outil est très simple et qu’il est facile de s’engager dans des conversations. Ils ont également encouragé les utilisateurs à utiliser fréquemment Bard, afin que la qualité de ses réponses s’améliore avec le temps. Bard fonctionne avec un algorithme de Grand Modèle de Langage (LLM) qui s’enrichit de données et de conversations écrites pour déterminer avec plus de précision la réponse à une question.

Conclusion

Le lancement de Bard de Google est une avancée majeure pour améliorer la qualité des réponses des moteurs de recherche. Avec l’augmentation des interactions avec les utilisateurs, Bard devrait fournir des résultats plus pertinents. Toutefois, les LLM ne sont pas sans failles, et Google a mis en place des garde-fous pour éviter les réponses inexactes ou inadaptées. L’interface de Bard est simple à utiliser et les dirigeants de Google encourage fortement les utilisateurs à l’utiliser pour améliorer la qualité des réponses apportées.

Source : www.lemonde.fr

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