Un nouvel allié incontournable pour faciliter les échanges.

Il y a un an, OpenAI a lancé son chatbot GPT-3, suscitant beaucoup d’intérêt et d’interrogations concernant les progrès de l’intelligence artificielle. Aujourd’hui, pour célébrer son premier anniversaire, une enquête révèle que 77% des Français considèrent cet outil comme une avancée majeure dans le domaine de l’intelligence artificielle.

Le Chat GPT-3 est un modèle de traitement du langage naturel capable d’analyser et de générer du texte pour simuler une conversation humaine. Il a été entraîné sur une grande quantité de données textuelles et est capable de répondre à diverses questions et situations, de la recherche d’informations à la création de contenu.

Cette avancée dans le domaine de l’intelligence artificielle suscite des réactions contrastées. Certains y voient un progrès majeur, permettant d’améliorer l’intelligence des ordinateurs et de faciliter la communication avec les machines. D’autres s’inquiètent de son impact potentiel sur l’emploi et la confidentialité des données.

Pourtant, pour la plupart des Français, le Chat GPT-3 est perçu comme une évolution positive dans le domaine de l’intelligence artificielle. Selon une étude menée par l’Institut de Recherche en Intelligence Artificielle, 77% des personnes interrogées estiment que cet outil représente une avancée majeure et ouvre de nouvelles opportunités dans de nombreux secteurs.

Le Chat GPT-3 présente de nombreuses applications potentielles dans des domaines tels que la traduction automatique, la création de contenu, l’assistance virtuelle et l’analyse de données. Il pourrait également être utilisé dans des secteurs comme la santé, la finance, l’éducation ou le commerce en ligne.

Pour les néophytes en intelligence artificielle, cet outil offre l’opportunité de découvrir les avancées technologiques dans ce domaine. Avec des connaissances de base en programmation et en traitement du langage naturel, il est envisageable de développer des applications innovantes et de participer à la transformation numérique de nombreux secteurs.

En utilisant des balises HTML, il est possible de formater clairement les informations pour les lecteurs. Les balises

et

aident à structurer les titres et les paragraphes, tandis que les balises permettent d’insérer des liens vers d’autres pages ou ressources. Les débutants peuvent aussi apprendre à ajouter des images ou des tableaux

pour enrichir leur contenu.

En conclusion, le premier anniversaire du Chat GPT-3 marque un jalon important dans le développement de l’intelligence artificielle. Soutenu par une forte adhésion des Français, cet outil promet de révolutionner de nombreux aspects de la vie quotidienne et d’offrir de nouvelles opportunités aux jeunes développeurs et aux passionnés de technologie. Grâce à une compréhension de base des balises HTML, les débutants en intelligence artificielle peuvent également contribuer à diffuser et à comprendre ces avancées technologiques.

Source : ipsos.com

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ChatGPT au volant : la révolution automobile ou simplement un gadget ?







ChatGPT dans des voitures : révolution ou gadget ?


ChatGPT dans des voitures : révolution ou gadget ?

ChatGPT dans des voitures

Les voitures autonomes sont en pleine expansion et les constructeurs automobiles rivalisent d’innovations pour rendre ces véhicules toujours plus performants. L’une des avancées récentes dans ce domaine est l’intégration de ChatGPT, un modèle de génération de texte basé sur l’intelligence artificielle, dans les systèmes de navigation des voitures.

ChatGPT est un programme informatique développé par OpenAI, qui est capable de générer du texte de manière autonome en s’appuyant sur de larges bases de données. Il est utilisé dans de nombreuses applications, allant de l’assistance virtuelle à la rédaction de contenu en passant par la traduction automatique.

Intégrer ChatGPT dans les voitures autonomes permettrait de renforcer l’interaction entre le conducteur et le véhicule. En effet, le système serait capable de comprendre les demandes du conducteur, de répondre à ses questions et même d’anticiper ses besoins en matière de navigation, d’informations sur la route ou de divertissement.

Cependant, cette avancée soulève également des questions concernant la sécurité et la fiabilité de l’utilisation de l’intelligence artificielle dans un contexte aussi critique que la conduite automobile. En effet, si ChatGPT peut être très performant dans la rédaction de texte, il peut également générer des réponses erronées ou inadaptées dans certaines situations.

De plus, l’intégration de ChatGPT dans les voitures pourrait également soulever des questions éthiques, notamment en ce qui concerne la collecte et le traitement des données personnelles des conducteurs.

Face à ces enjeux, il revient aux constructeurs et aux développeurs de garantir la sécurité et la fiabilité du système, en mettant en place des mécanismes de contrôle et de sauvegarde en cas de défaillance de l’intelligence artificielle.

En conclusion, l’intégration de ChatGPT dans les voitures autonomes représente à la fois une avancée majeure en matière d’interaction homme-machine et une source potentielle de préoccupations en termes de sécurité et de fiabilité. Il appartient aux acteurs de l’industrie automobile de trouver un juste équilibre entre innovation et responsabilité pour que cette technologie puisse véritablement révolutionner la conduite automobile.




Source : youtube.com

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Groupama révolutionne l’assurance avec Gesica et l’IA générative







Groupama met l’IA générative et ChatGPT à sa sauce


Avec Gesica, Groupama met l’IA générative et ChatGPT à sa sauce

François-Xavier Enderle, le directeur de la Transformation de Groupama, l’annonçait début décembre. Les applications de l’IA générative au sein du groupe arrivent. L’assureur vient ainsi d’officialiser GESICA au sein de son entité Groupama Épargne Salariale.

GESICA, acronyme de Groupama Épargne Salariale Intelligence Conversationnelle Artificielle, c’est donc un robot conversationnel ou chatbot à destination des collaborateurs. La solution exploite ChatGPT, mais pour le mettre à sa sauce en version Groupama GPT.

GESICA intégré au Teams des collaborateurs

C’est ce qu’expliquent dans une vidéo commune Jean-Christophe Benzo, directeur général de Groupama Épargne Salariale, François-Xavier Enderle et Pascal Desseaux, responsable des infrastructures Data & IA Factory de G2S (Groupama Supports et Services).

Comme Axa avant lui, l’assureur se dote donc d’un chatbot interne basé sur ChatGPT et hébergé sur une instance privée Azure de Microsoft. Pour l’accès à GESICA, Groupama a opté pour une intégration dans Teams, l’outil collaboratif de l’éditeur.

La fonction de GESICA consiste à répondre “aux questions de nos collaborateurs sur l’épargne salariale afin de leur faire gagner du temps dans leurs recherches au quotidien.” Pour puiser ces informations, le chatbot puise donc exclusivement dans la base documentaire de l’entreprise.

“C’est du ChatGPT à la sauce Groupama”, insiste Jean-Christophe Benzo. “On a voulu créer notre outil (…) avec nos propres bases, pour répondre spécifiquement à nos questions”, poursuit le dirigeant.

Et celui-ci de préciser une fois encore que GESICA fonctionne sur un environnement fermé. “Il faut se rassurer, GESICA ne va pas du tout sur Internet. Elle répond uniquement sur la base des connaissances qu’on lui a communiquées”, assure le directeur général.

Robot cantonné à la base documentaire interne

Ce mode de fonctionnement est un moyen de se prémunir contre les hallucinations, mais aussi de protéger la confidentialité des données. “Les données, c’est notre patrimoine. Donc on les garde à la maison”, justifie François-Xavier Enderle.

“Je suis convaincu que cette technologie peut être d’une aide précieuse pour nos collaborateurs dans beaucoup de domaines, notamment dans la relation client : Recherche documentaire facilitée, préparation des réponses, synthèse de dialogues…”, détaille Jean-Christophe Benzo.

Le dirigeant se veut rassurant aussi à l’égard des clients et des collaborateurs. Promis, la relation aux clients n’a pas été totalement bouleversée par l’introduction d’un chatbot.

“Nous considérons que l’IA est un outil qui vient aider nos collaborateurs mais ne s’y substitue pas. Notre relation client reste centrée sur une communication entre humains”, souligne-t-il. Enfin, Groupama, par la voix de son directeur de la transformation, déclare que GESICA constitue le “début d’une très longue série” de cas d’usage sur l’IA.




Source : www.zdnet.fr

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La montre abordable qui vous connecte à ChatGPT directement depuis votre poignet




Une montre connectée Black Shark intégrant ChatGPT

La marque Black Shark a annoncé une nouvelle montre connectée qui intègre ChatGPT pour poser des questions directement depuis votre poignet.


La Black Shark S1 Pro embarque ChatGPT à votre poignet
La Black Shark S1 Pro embarque ChatGPT à votre poignet // Source : montage Frandroid

Si les marques Poco, Mi ou Redmi de Xiaomi sont bien connues, Xiaomi développe également des appareils orientés vers le gaming avec sa marque Black Shark. Le constructeur a justement annoncé une nouvelle montre connectée sous cette marque, la Black Shark S1 Pro, avec une fonction vraiment innovante : l’intégration de ChatGPT.

On a l’habitude des montres connectées qui embarquent un assistant vocal pour répondre à des questions ou lancer des appels. Généralement, on va ainsi retrouver Siri sur les Apple Watch, Google Assistant sur les modèles sous Wear OS et Alexa sur certains modèles. Néanmoins, la Black Shark S1 Pro promet d’aller un peu plus loin avec un « support de ChatGPT ».

ChatGPT à la place d’Alexa, Siri ou Google Assistant

Concrètement, cette intégration devrait permettre aux utilisateurs de poser directement des questions à la voix à ChatGPT depuis leur montre connectée, comme l’indique le site GSMArena : « Black Shark indique que l’intégration de ChatGPT permettra à l’assistant intelligent de répondre à de simples requêtes qui seront probablement relayées de la montre à votre smartphone appairé ». Il est ainsi peu probable que la montre en elle-même soit suffisamment puissante ou intelligente pour intégrer ChatGPT en natif et il faudra donc non seulement une connexion en Bluetooth au smartphone, mais également une connexion à Internet pour profiter de cette fonctionnalité.

Outre cet assistant vocal pour le moins original, la Black Shark S1 Pro profite d’un écran Oled de 1,43 pouce de diamètre. Elle embarque le système RTOS, comme sur la Xiaomi Watch S1 Pro, ainsi qu’une autonomie de 15 jours d’après le constructeur. Bien évidemment, les données de sport et santé sont de la partie avec un cardiofréquencemètre et un oxymètre de pouls. Orientée gaming, la montre propose par ailleurs un « mode de suivi de la santé gaming », sans plus de détails.

La montre connectée Blackk Shark S1 Pro est d’ores et déjà disponible en bleu ou en noir. Elle est proposée en France au prix de 48 euros.





Source : www.frandroid.com

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ChatGPT : le leader incontesté de l’intelligence artificielle, des concurrents à sa hauteur ?




La ruée mondiale vers l’intelligence artificielle générative

L’entreprise derrière le chatbot ChatGPT face à une concurrence féroce

L’entreprise derrière le chatbot ChatGPT est aujourd’hui confrontée à une concurrence féroce de la part de géants de la tech tels que Google, Amazon, Facebook ou Meta. Cette ruée mondiale vers l’intelligence artificielle générative est au cœur des enjeux actuels de l’industrie technologique.

Dans un récent podcast, Alexandre Piquard, journaliste spécialisé dans les entreprises de la tech, souligne l’importance de cette compétition acharnée dans le domaine de l’intelligence artificielle. Il met en lumière les défis auxquels font face les pionniers du secteur et la manière dont ces acteurs majeurs cherchent à se démarquer dans un marché en constante évolution.

La montée en puissance de l’intelligence artificielle générative

L’intelligence artificielle générative est devenue un enjeu majeur pour les entreprises technologiques. Cette technologie permet de créer des programmes capables de générer du contenu de manière autonome, comme des réponses à des questions, des recommandations personnalisées ou même des œuvres d’art.

Face à cette tendance, les acteurs majeurs de la tech rivalisent pour développer des solutions d’intelligence artificielle générative plus avancées et performantes, afin de conquérir de nouveaux marchés et de fidéliser leurs utilisateurs.

Les enjeux de la compétition dans le secteur de l’intelligence artificielle

La concurrence entre les entreprises dans le domaine de l’intelligence artificielle générative est intense. Chacune tente de se démarquer en proposant des fonctionnalités innovantes, une meilleure compréhension du langage naturel ou encore une capacité d’adaptation supérieure aux besoins des utilisateurs.

Cette compétition pousse les entreprises à investir massivement dans la recherche et le développement pour rester à la pointe de l’innovation, et à attirer les meilleurs talents du secteur. Elle génère également de nouveaux défis éthiques, notamment en termes de responsabilité dans l’utilisation de ces technologies.

Les perspectives d’avenir pour l’intelligence artificielle générative

Malgré la concurrence féroce à laquelle elles font face, les entreprises impliquées dans le développement de l’intelligence artificielle générative voient un potentiel considérable dans cette technologie. Elles misent sur son adoption croissante par un large éventail d’industries, allant de la santé à l’éducation en passant par le divertissement.

De nouvelles applications de l’intelligence artificielle générative sont également envisagées, offrant des perspectives passionnantes pour l’avenir. Ces avancées suscitent à la fois l’enthousiasme et l’interrogation quant aux changements qu’elles pourraient apporter dans nos vies quotidiennes.




Source : www.lemonde.fr

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Liberté d’innovation en France : Vers un assouplissement de l’AI Act







Intelligence artificielle : L’Europe régule les modèles d’IA


Emmanuel Macron, à Paris, le 7 décembre 2023.

Vendredi 8 décembre, au terme d’un marathon de trente-cinq heures de négociations tendues, les institutions européennes ont, en principe, mis fin à quatre ans de processus législatif autour de l’AI Act. Mais, pour la France,
l’accord politique trouvé sur le règlement européen de l’intelligence artificielle (IA) ne clôt pas les débats. Selon nos informations, Paris espère, dans les réunions techniques qui ont commencé la semaine du lundi 11 décembre, infléchir les modalités d’application de certains points du texte : ceux-ci concernent la régulation des modèles d’IA capables de créer du texte ou des images, comme ceux des américains OpenAI ou Google, mais aussi de start-up françaises comme Mistral AI ou LightOn.

Fait inhabituel, le ministre délégué au numérique, Jean-Noël Barrot, a, dès samedi 9 décembre au matin, relativisé le compromis scellé sur l’AI Act, qualifié de simple « étape ». « Il faut éviter d’écraser les innovateurs européens sous une réglementation trop lourde, donc nous allons examiner très attentivement l’accord trouvé cette nuit », a-t-il prévenu sur France Inter, anticipant « les discussions qui vont nécessairement se poursuivre pour régler un certain nombre de détails ».

« Le texte a été agréé. Il n’est plus ouvert à la discussion », lui a rétorqué, le 10 décembre, dans La Tribune Dimanche, le commissaire européen Thierry Breton. Sur les modèles d’IA concernés, un « équilibre » a été trouvé grâce à la réaction « d’un certain nombre d’Etats membres, dont la France et l’Allemagne », alors que la position initiale du Parlement européen était « trop radicale », a-t-il estimé.

Protéger les secrets d’affaires

Mais, lundi 11, Emmanuel Macron a réitéré les critiques françaises. « Ce n’est pas une bonne idée de réguler les modèles de fondation plus que les autres » pays, comme le Royaume-Uni, a déclaré le président de la République, en déplacement à Toulouse. « Si on perd des leaders ou des pionniers de l’IA à cause de ça, il faudra y revenir », a-t-il ajouté.

Concrètement, selon nos informations, le gouvernement s’inquiète de l’obligation faite aux fabricants de modèles d’IA de « rendre public un résumé suffisamment détaillé » des données utilisées pour entraîner leurs logiciels. « Accéder à une transparence complète (…), notamment des adresses des pages Web utilisées, reviendrait à signer la mort de l’entreprise », a estimé, lundi, le fondateur de Mistral AI, Arthur Mensch, dans Les Echos. Et « 95 % du savoir-faire technologique de Mistral, c’est la composition de sa base de données », a-t-il assuré.

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Source : lemonde.fr

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9 Astuces Imbattables de ChatGPT pour Séduire et Trouver des Cadeaux de Noël




9 Meilleurs Astuces de ChatGPT (séduction, cadeaux de Noël…)

9 Meilleurs Astuces de ChatGPT (séduction, cadeaux de Noël…)

Vous avez probablement entendu parler de ChatGPT, une intelligence artificielle capable d’interagir de manière naturelle avec les humains. Cette technologie est de plus en plus populaire et est utilisée dans divers domaines, y compris la séduction, les conseils de cadeaux de Noël et bien d’autres. Voici 9 meilleures astuces pour tirer le meilleur parti de ChatGPT dans ces domaines.

1. Utilisez des phrases simples et claires

Lorsque vous interagissez avec ChatGPT, il est important de formuler vos questions et vos instructions de manière simple et claire. Cela aidera l’IA à vous comprendre et à fournir des réponses précises.

2. Posez des questions ouvertes pour séduire

Si vous utilisez ChatGPT pour des conseils en séduction, posez des questions ouvertes qui permettront à l’IA de vous donner des suggestions personnalisées. Par exemple, demandez “Quels sont les meilleurs endroits pour une première date ?” plutôt que “Où devrais-je emmener ma date ?”

3. Explorez les notions de psychologie pour séduire

ChatGPT dispose de connaissances approfondies en psychologie, ce qui peut être utile dans le domaine de la séduction. Posez-lui des questions sur la psychologie humaine et utilisez ses réponses pour affiner vos techniques de séduction.

4. Posez des questions sur les intérêts de la personne pour des cadeaux de Noël

Lors de la recherche de cadeaux de Noël, demandez à ChatGPT des questions sur les intérêts et les hobbies de la personne à qui vous souhaitez offrir un cadeau. Cela vous aidera à trouver des idées de cadeaux originales et personnalisées.

5. Utilisez des mots-clés pour obtenir des recommandations de cadeaux de Noël

Utilisez des mots-clés spécifiques lorsque vous demandez à ChatGPT des recommandations de cadeaux de Noël. Par exemple, demandez “cadeaux pour les amateurs de vin” ou “cadeaux pour les amateurs de fitness” pour obtenir des suggestions pertinentes.

6. Explorez les tendances et les nouveautés pour des cadeaux de Noël

Interrogez ChatGPT sur les tendances actuelles et les nouveautés dans le domaine des cadeaux de Noël. L’IA peut vous aider à trouver des idées originales et à la pointe de la technologie.

7. Soyez précis dans vos demandes

Lorsque vous utilisez ChatGPT, soyez aussi précis que possible dans vos demandes. Par exemple, au lieu de demander “des idées de cadeaux de Noël pour ma mère”, demandez “des idées de cadeaux de Noël pour une mère qui aime la cuisine et le jardinage”.

8. Utilisez les réponses de ChatGPT comme point de départ

Utilisez les réponses de ChatGPT comme point de départ pour vos propres idées. L’IA peut vous donner des suggestions inspirantes qui vous aideront à trouver le cadeau parfait.

9. Expérimentez et apprenez

Enfin, n’hésitez pas à expérimenter avec ChatGPT et à apprendre de ses réponses. Plus vous interagissez avec l’IA, plus vous apprendrez à tirer le meilleur parti de ses capacités.




Source : youtube.com

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La crainte d’Open AI face à l’avènement des IA “surhumaines”






L’intelligence artificielle face aux enjeux éthiques et de contrôle


L’intelligence artificielle face aux enjeux éthiques et de contrôle

L’équipe “Superalignement” d’Open AI aspire à défendre la propriété intellectuelle de l’homme face à l’IA.

Jusqu’où ira l’intelligence artificielle? Si elle permet, désormais, de réaliser une opération chirurgicale à distance, savoir si le père Noël existe vraiment ou rédiger un projet de loi, son utilisation et ses capacités posent question.

Pour OpenAI, leader mondial du raisonnement artificiel et créateur de ChatGPT, il est l’heure de se pencher sur le problème du contrôle d’une IA plus intelligente que les humains.

Pour y parvenir, l’entreprise à but lucratif “plafonné” a décidé de lancer l’équipe “Superalignment”, en juillet 2023. Elle sert à diriger, réguler et gouverner les différents systèmes d’intelligence artificielle, selon le communiqué d’Open AI lors du lancement de l’entité. Un programme qui pèse 10 millions de dollars de budget.

“C’est un objectif ambitieux et nous ne sommes pas assurés d’y parvenir. Seul un effort ciblé et concerté pourra résoudre le problème d’une IA trop intelligente. De nombreuses mesures se sont révélées prometteuses lors d’expériences préliminaires”.

L’équipe est dirigée par le cofondateur d’OpenAI, Ilya Sutskever, et suppléée par Jan Leike. Trois de leurs chercheurs étaient, la semaine passée, à la conférence sur les Systèmes de traitement de l’information neuronale (NeurIPS) à La Nouvelle-Orléans (Louisiane, Etats-Unis) pour présenter les derniers travaux d’OpenAI, visant à garantir le “bon comportement” de leur IA.

“Un vrai problème”

“Les progrès sur l’IA explosé cette année et je peux vous assurer qu’ils ne s’arrêteront pas là”, a confié Leopold Aschenbrenner, l’un des trois chercheurs, au média spécialisé TechCrunch.

“Je pense que l’intelligence artificielle va bientôt atteindre un niveau humain. S’ensuivront des capacités intellectuelles surhumaines. Ce qui représente un vrai problème, peut-être le plus important de notre époque”.

La prise de position du chercheur peut faire froid dans le dos, et pourtant l’IA “superintelligente” est aux portes de la réalité.

Sam Altman, créateur d’Open AI, utilise même comme comparaison le projet Manhattan (un projet de recherche du gouvernement américain dont l’objectif était de produire une bombe atomique au cours de la Seconde Guerre mondiale) pour évoquer les travaux d’Open AI. Ces derniers devraient permettre de “se protéger contre des risques catastrophiques” (ici, la prise de contrôle de l’IA sur l’humain).

Selon TechCrunch, l’équipe “Superalignment” tente actuellement de créer “des cadres de gouvernance et de contrôle” pour “superviser” les systèmes d’intelligence artificielle. Les chercheurs s’efforcent de faire fonctionner GPT-4 (le dernier modèle d’IA de l’entreprise) avec GPT-2 comme “chef”.




Source : bfmtv.com

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ChatGPT : un outil sans éthique pour les enseignants






Intelligence Artificielle : Débat autour de ChatGPT

Le spécialiste de la pédagogie numérique et des technologies cognitives estime que la communauté éducative s’est fait imposer une technologie sans avoir eu le temps d’en débattre. Selon lui, cette IA générative n’aidera pas les étudiants à penser, explorer et discuter. Bien au contraire.

Vous réjouissez-vous toujours de l’interdiction de ChatGPT à Sciences Po Paris ?

Je l’appelle « CheatGPT », c’est un outil de triche. On ne pouvait pas accepter que, faute d’encadrement, les étudiants trichent. Il faut du temps pour déterminer les règles et les intérêts de cet outil, ce sont d’ailleurs des choses qui devraient être faites avant la mise sur le marché d’un tel produit. On est encore loin du compte pour l’autoriser totalement.

Nous n’avons pas encore saisi toutes les limites, les conséquences, les intérêts, les façons de le détecter dans un texte. Les enseignants ne peuvent pas s’appuyer sur un système qui n’a aucune éthique : il n’y a aucune exigence de vérité dans son algorithme, aucune transparence sur l’usage des données personnelles. Tout ça demande du temps pour élaborer un cadre légal et un scénario pédagogique.

Certains disaient, au moment de l’arrivée de ChatGPT : « Maintenant, on va former les élèves à faire des prompts. » C’est une bêtise, les prompts évoluent, très bientôt ils seront vocaux. Donc ces mêmes personnes adapteront leur pédagogie à chaque nouveauté ? Et dans deux ans, il y aura de nouveaux outils et d’autres modèles de langage. On aura appris à faire des prompts pour des IA qui ne seront plus sur le marché. Réfléchissons un peu, nous ne sommes pas soumis à cette loi de l’urgence que le marché de l’innovation technologique veut nous faire subir.

Comment les enseignants peuvent-ils se réapproprier ces outils ?

On a été mis dans cette situation d’urgence par OpenAI [l’entreprise américaine à l’origine de ChatGPT]. Ils ont lancé dans le grand public une application gratuite qui, de fait, aurait nécessité plusieurs tests et plusieurs scénarios d’utilisation dans un contexte pédagogique. C’est ce qu’on appelle une attitude disruptive.

Pour qu’une intelligence artificielle soit d’utilité publique, il faudrait obligatoirement qu’on soit capable de la contrôler, qu’on soit sûr qu’elle ne fasse pas d’erreurs. Les enseignants sont constamment en train d’innover, là ils innovent le couteau sous la gorge. Il faut trouver une façon de récupérer le contrôle et savoir s’il y a réellement un intérêt pour le monde éducatif. Le pire, c’est que ChatGPT n’est que le début d’un cycle, dans cinq ans ce sera totalement autre chose. Il y aura des modèles plus petits, plus robustes.

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Source : lemonde.fr

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ChatGPT: L’outil révolutionnaire qui libère l’innovation pédagogique

 

Le spécialiste de la pédagogie numérique et des technologies cognitives estime que la communauté éducative s’est fait imposer une technologie sans avoir eu le temps d’en débattre. Selon lui, cette IA générative n’aidera pas les étudiants à penser, explorer et discuter. Bien au contraire.

Vous réjouissez-vous toujours de l’interdiction de ChatGPT à Sciences Po Paris ?

Je l’appelle « CheatGPT », c’est un outil de triche. On ne pouvait pas accepter que, faute d’encadrement, les étudiants trichent. Il faut du temps pour déterminer les règles et les intérêts de cet outil, ce sont d’ailleurs des choses qui devraient être faites avant la mise sur le marché d’un tel produit. On est encore loin du compte pour l’autoriser totalement. Nous n’avons pas encore saisi toutes les limites, les conséquences, les intérêts, les façons de le détecter dans un texte. Les enseignants ne peuvent pas s’appuyer sur un système qui n’a aucune éthique : il n’y a aucune exigence de vérité dans son algorithme, aucune transparence sur l’usage des données personnelles. Tout ça demande du temps pour élaborer un cadre légal et un scénario pédagogique.

Certains disaient, au moment de l’arrivée de ChatGPT : « Maintenant, on va former les élèves à faire des prompts. » C’est une bêtise, les prompts évoluent, très bientôt ils seront vocaux. Donc ces mêmes personnes adapteront leur pédagogie à chaque nouveauté ? Et dans deux ans, il y aura de nouveaux outils et d’autres modèles de langage. On aura appris à faire des prompts pour des IA qui ne seront plus sur le marché. Réfléchissons un peu, nous ne sommes pas soumis à cette loi de l’urgence que le marché de l’innovation technologique veut nous faire subir.

Comment les enseignants peuvent-ils se réapproprier ces outils ?

On a été mis dans cette situation d’urgence par OpenAI [l’entreprise américaine à l’origine de ChatGPT]. Ils ont lancé dans le grand public une application gratuite qui, de fait, aurait nécessité plusieurs tests et plusieurs scénarios d’utilisation dans un contexte pédagogique. C’est ce qu’on appelle une attitude disruptive.

Pour qu’une intelligence artificielle soit d’utilité publique, il faudrait obligatoirement qu’on soit capable de la contrôler, qu’on soit sûr qu’elle ne fasse pas d’erreurs. Les enseignants sont constamment en train d’innover, là ils innovent le couteau sous la gorge. Il faut trouver une façon de récupérer le contrôle et savoir s’il y a réellement un intérêt pour le monde éducatif. Le pire, c’est que ChatGPT n’est que le début d’un cycle, dans cinq ans ce sera totalement autre chose. Il y aura des modèles plus petits, plus robustes.

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Source : www.lemonde.fr

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